août 18, 2010

"La mer, qu'on voit danser, près des golfes clairs."




















Il s'en va, livide, glacial et dur comme la pierre. Il en est ainsi, de la vie, de la mort. L'homme à la cigarette, devenu squelettique et jaunâtre s'en est allé rejoindre les paisibles paysages de ses rêves. Habitant désormais, sans aucun doute, sa cabane de bois enfouie sous des montagnes de feuilles et de branches, faisant face à sa petite rivière. Le rêve l'a rattrapé.
Il ne faut pas trop rêver.

2 commentaires:

Ulvinne a dit…

Superbe!
Bon choix, le noir et blanc!

Et si les textes sont de toi, je te félicite!

Ulvinne a dit…

Et toi alors, tes aspirations de voyages? Si tu es comme moi, je présume que le choix doit être difficile, jaja!